« Résister, la lumière de la poésie contre le chaos du monde » continuera d’animer la parole. Celle qui peut s’écrire sur l’horizon. Sur la terre. Sur l’eau. Sur le feu et le vent… Jusqu’à ce qu’elle atteigne les âmes.
Les paroles des poètes se sont rejointes dans l’horizon de l’espoir, pendant qu’en fond sonore, la magie de la musique latino-américaine résonnait avec Pablo Urquiza.
Un long écho poétique contre le chaos du monde s’est élevé lors de notre rencontre autour du lancement de RÉSISTIR – VZDRŽATI, une sélection de poèmes des anthologies Résister 2020 et Résister 2023, traduits en slovène para Dragica Čarna.
L’anthologie RÉSISTIR – VZDRŽATI a été présentée avec la lecture de quelques poèmes.
En espagnol (version originale) par Rocío Durán-Barba, la traduction en slovène par Drágica Carna et la traduction en français par Francis Coffinet.
Notre réunion fut une vraie fête de la poésie multilingue. Des poèmes ont été lus en français, slovène, espagnol, italien et portugais.
Avec la participation de : Natalia Ruiz-Poveda – Espagne
Francis Coffinet – France
Fulvio Caccia – Italie,
Alicia Machado – Portugal
Blaise Oberson – Suisse
Tous les poètes ont lu des poèmes tirés de l’anthologie RÉSISTIR – VZDRŽATI et de leurs recueils de poèmes.
À cette occasion, j’ai présenté mon nouveau livre d’artiste qui vient de sortir :
Paris Paris Paris,
réalisé avec les merveilleuses photographies d’Isabelle Luquet-Catel.
2024 fut décidément l’année de Paris !
La soirée s’est terminée par la présentation de Lilith, le plus récent recueil de poèmes de la poétesse et traductrice Dragica Čarna. Ainsi, nous l’avons remerciée pour son fantastique travail de traduction et sa collaboration avec notre programme « Résister ».
Tous les poètes ont lu avec enthousiasme un poème tiré de cette œuvre.
Nous avons terminé la soirée en évoquant le pouvoir de la parole. L’importance de l’écriture à notre époque. En réaffirmant l’idée que nous devons être conscients qu’en tant qu’écrivains, il nous appartient d’élever la voix pour éclaircir l’horizon. Pour dire l’espoir. Pour imaginer un lendemain de paix. Il nous appartient de réinventer des chemins. D’élever la lumière de la poésie contre le chaos du monde.